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Sur chaque pleine lune, depuis plus de 30 ans, j’accompagne avec mon épouse Irène des séances de méditation et de prière.

En voici la présentation sous le forme de questions / réponses :

Une secte ?

Ce groupe est informel, ouvert, et libre d’accès, sans cotisation, ni adhésion, ni affiliation, ni structure administrative, ni disciples, ni gourou. Il n’est affilié à aucune organisation ou groupe spirituel particulier. Il ne prétend pas non plus détenir ou diffuser un enseignement élitiste ou en référence à une pensée unique.

Depuis quand et pourquoi ?

Depuis plus de 30 ans se sont développées ces séances de méditation et prière, plus spécialement orientées vers les malades et les défunts ainsi que l’humanité dans son ensemble. Il est cohérent, dans l’approche global de la santé (holistique), de concevoir l’importance du corps comme celle de l’esprit. Les « intentions » de prière, bien entendu, ne peuvent être que complémentaires des soins médicaux et en aucune façon s’y substituer. 

Qu’y fait-on ?

Si, au tout début, nous utilisions un nombre important de textes comme support de nos prières, le groupe a choisi d’élaguer peu à peu cet aspect pour s’orienter vers des temps de silence méditatif plus longs.

Après quelques préparation communes à quasiment toutes les formes d’assise silencieuse (posture, respiration, relaxation, recentrage, alignement…), nous cheminons vers différentes expériences de l’intériorité telles que méditation sur la Présence, sur le Sourire du cœur, la reliance, la bénédiction des malades* et des défunts, la méditation de pleine conscience (Mindfulness) ; un temps particulier est consacré à la méditation dite de Transmission, au service de l’évolution de tous et de la fraternité humaine

A quelle heure et pour combien de temps ?

Les séances débutent exactement à 19h30 (fermeture des portes) et s’achèvent vers 21h00.

Où ? Via Zoom. 

Important : il n’existe absolument aucune relation de fonctionnement, d’échange, de croyance ou de subordination entre l’école CENATHO, mes activités professionnelles diverses et ces activités spirituelles qui demeurent totalement indépendantes.

Quelle orientation ?

Nos références spirituelles sont le Christ, le Bouddha, et Leurs Hiérarchies spirituelles bien connues des traditions occidentales et orientales, dans l’esprit d’un très large pan-œcuménisme de pensée et de foi possible.

Ainsi, les deux axes forts de ces soirées sont le simple partage du Notre Père et de la Grande Invocation, au-delà du religieux, des dogmes et des appartenances, une large ouverture à la sagesse  universelle.

Témoignant de notre ouverture non dogmatique et de notre rejet de la pensée unique, il est fréquent que soient évoqués ou cités certains référents –spirituels ou philosophiques- tels que des Saints chrétiens ou orientaux, tout aussi bien que Maître Eckhart, Jiddu Krishnamurti, le Mahatma Gandhi, Sri Aurobindo, Carl-Gustav Jung, Abraham Maslow, Max Heindel, Georges Gurdjieff, Peter Deunov, Omraam Mikhaël Aïvanhov, Philippe de Lyon, Kalu Rimpoche, Lanza del Vasto, Taisen Deshimaru, Alice Bailey, Charles Raphaël Payeur, Jean Klein, Yvan Amar, Thich Nhat Hanh, Matthieu Ricard, Sélim Aïssel, Eckhart Tolle, Benjamin Creme, et Maitreya,…

 POUR 2023 / 2024

  • Vendredi 29 septembre 2023
  • Samedi 28 octobre 2023
  • Lundi 27 novembre 2023
  • Mercredi 27 décembre 2023
  • Jeudi 25 janvier 2024
  • Samedi 24 février 2024
  • Lundi 25 mars 2024
  • Mercredi 24 avril 2024 = Pâques
  • Jeudi 23 mai 2024 = Wésak
  • Samedi 22 juin 2024 =Fête de la Bonne Volonté Mondiale
  • Dimanche 21 juillet 2024
  • Lundi 19 août 2024
  • Les liens Zoom sont envoyés aux personnes le demandant  dans les jours qui précèdent les dates indiquées.

(formulaire de contact)

Pourquoi les pleines lunes ?

Nous nous rassemblons sur les pleine lunes (au possible, selon le calendrier), afin de nous lier à toutes les communautés orientales qui depuis toujours ont choisi ces moments pour rassembler les cœurs et les consciences.

Par exemple, les trois pleines lunes de printemps sont considérées comme les plus importantes de l’année (fêtes de Pâques, du Wesak, de la Bonne volonté mondiale).

Faut-il croire pour participer ?

Au-delà des croyances et des philosophies, il est simplement demandé aux participants de ne pas « venir en curieux » mais dans un simple élan de Service : Servir le Plan céleste (= le Ciel, le Divin, le Père céleste, l’Univers, la Source…) en se reliant notamment au plan de l’Ame (le Soi des junguiens ou des théosophes), dans la dynamique commune à tous les artisans de paix et de fraternité que porte notre planète.

Qu’a-t-on à y gagner ?

Le propre d’une activité spirituelle est l’impersonnalité, donc aucun bénéfice n’est envisagé au plan de l’égo, le petit moi. Toutefois, il est connu que la méditation procure plus de sérénité et de joie de vivre, une meilleure gestion du stress, un meilleur équilibre psychosomatique, une conscience plus ouverte, intuitive et créatrice.

Ses bénéfices en termes de santé et de qualité de vie ont été démontrés dans nombre d’universités occidentales et orientales, confirmant ce qu’affirment toutes les grandes Traditions.  

* Pour rappel : les « intentions » spirituelles ne se substituent ni ne s’opposent, en aucune façon, aux médications ou soins médicaux prescrits par le médecin. 

 

 

MEDITER ?

Un besoin quotidien, un appel, une manne, une source de Joie, une réconciliation en marche… voilà un peu de l’expérience méditative. Ne dit-on pas que le but est le chemin

Or, toutes les méditations du monde ont un seul but, plus ou moins formulé dans le cadre culturel et historique de leur pratique : la reliance au Soi, au Moi supérieur, à l’Ame.

En conduisant sur ce chemin, l’égo (la persona, le moi, l’être existentiel) se hisse vers le Soi. Mais la perspective verticale (se hisser vers, s’élever) n’est pas incompatible avec la vision qui pose l’Absolu au cœur de l‘Ici et Maintenant, comme un retour vers l’intériorité, le Centre, notre noyau spirituel, notre Précieux.

Les deux visions s’accordent sur la dimension expérientielle de la méditation, c’est à dire sa « vivance » (terme emprunté à Alfonso Caycedo, père de la sophrologie) qui, selon moi, est à la fois celle d’un appel  vers la Source comme processus  transcendantal et immanent. On perçoit ici la pertinence de concilier l’idée d’une divinité céleste inaccessible en cette vie (grosso modo sur le mode transcendantal chrétien) et celle d’une divinité intrinsèquement présence en l’Homme (immanente) mais qu’il nous appartient de dépoussiérer, de libérer de sa gangue (l’égo, les illusions, les mirages du petit moi-je)…

Nous sommes loin ici des allégations rassurantes des nouvelles méditations que les neurosciences et la psychologie positive intègrent depuis quelques années en occident : Oui, les trainings de « pleine conscience » sont parfaitement adaptés aux besoin de personnes stressées, en dépression récidivante ou souffrant de tels maux psychosomatiques par exemple… mais la pudeur que leurs promoteurs s’appliquent à manifester pour que la pleine conscience demeure très « scientifiquement correct » me désole un peu. Serait-ce de la tiédeur ? On oublie trop qu’elle puise ses sources au creuset du Bouddhisme et du Raja Yoga… Mais soit, il nous faut déployer de la patience pour que l’idée même de méditer s’implante dans les habitudes de vie des occidentaux que nous sommes… et parvienne à être entendue par les scientifiques !

 

J’aime à répéter que méditer est aussi nécessaire et naturel que de se brosser les dents… ou même de manger ou dormir.

Mais la méditation n’est-elle pas une forme d’hygiène, de nutrition ou de sommeil conscient, ouvert à tous nos possibles et révélant nos potentiels, nos ressources infinies…?

Un itinéraire riche de grâces et de belles rencontres…

Dans mon humble histoire, c’est la méditation du Bouddhisme Nichiren Daishonin qui m’a été proposée à l’âge de 15 ou 16 ans. Entré « par hasard » au centre parisien du groupe (la Söka Gakkaï France), on vient installer dans ma chambre le précieux Gohonzon (un rouleau sur lequel est inscrit en japonais un extrait du Sutra du Lotus) et je me mets à psalmodier le mantra Nam-myoho-renge-kyo quelques minutes, puis une bonne heure chaque jour. Relaxation et sérénité assurées… sous le regard attentif de mes parents -même si je les avais déjà habitué à me voir prendre mes repas au sol, assis sur mon zafu (coussin de méditation) et avec des baguettes… c’était mon expérience de la macrobiotique qui durant deux bonnes années…). Pour avoir une idée audio du mantra en question : https://youtu.be/Mt-4aA1WZlM?t=6 

A la fin des années 70, c’est la rencontre avec Lanza del Vasto, (philosophe, poète, disciple de Gandhi), un fascinant sage à barbe blanche, qui me conduira à approcher au sein de sa « communauté de l’Arche » une forme de syncrétisme entre christianisme et yoga. Je buvais ses paroles et dévorait ses livres (je conseille toujours vivement « Principes et préceptes du retour à l’évidence« , une merveille en format de poche…

Mes méditations s’ouvrent alors à une réconciliation orient-occident, source de bonheur indicible pour le jeune homme que j’étais (et qui rêvait adolescent de devenir prêtre et disait quasiment la messe dans sa chambre !). Une vidéo où chantent Lanza del Vasto et son épouse Chanterelle : Chant : Lanza del Vasto et Chanterelle sa femme ainsi qu’un couple d’amis. – YouTube

La rencontre avec Taïsen Deshmaru, l’introducteur du Zen en France, se déroule quasiment dans les mêmes années et impacte profondément la pratique du Zazen (méditation assise) dans mon quotidien. Cette « montagne » humaine qu’était ce Sensei (maître en japonais) imposait le respect : il était capable de rester assis en méditation quasiment 10 jours (le temps d’une session traditionnelle) puis de se saouler au saké sans retenue… « Quand je mange, je mange ! » tonnait-il parfois… Cette façon de boire la vie jusqu’à la lie m’interrogeait alors, me confrontait à la morale bien rigide et aux valeurs bien-pensantes de notre culture…

Plus tard, je comprendrais que la « présence au présent » transcende même l’alcool (occasionnellement !) et que « bien et mal » sont toujours relatifs dans cette perspective, comme le sont le Yin et le Yang ! Une démonstration de la posture de Zazen et de la marche Zen du Sensei Deshimaru: TAISEN DESHIMARU demonstration de zazen et kinhin – Bing video

C’est dans les années 80 que dans les pas de Karlfried Graf Dürckheim, je fis l’expérience des méditations et des pratiques corporelles qu’il enseignait avec tant de passion tranquille et de pédagogie. Ce bon maître a laissé bien des échos en ma mémoire, dont ces trois petites phrases si riches de sens :

« Lâcher-prise, c’est se confier« 

« Dieu au coeur de mon souffle« 

et

« A qui te consacre-tu à chaque instant de ta vie ? à l’être existentiel ou à l’Etre Essentiel ?« 

… La méditation Zen avait alors fusionné avec mes idéaux christiques, et le tout sans oublier le corps… ma soif de synthèse et de réconciliation en fut comblée ! Aujourd’hui, j’enseigne encore de mon mieux le meilleur de ce que j’ai pu recevoir de KGD, pour mes stagiaires en naturopathie holistique. Une vidéo en Allemand à propos de la méditation : Karlfried Graf Dürckheim – Psychologie & Zen. Teil 3/5 – YouTube

Entre 1975 et 1990, mes différents formateurs en Yoga participèrent largement à mon approfondissement des techniques de méditation. « La » découverte auprès de Claude Barreau pour débuter, puis dans les pas d’André Van Lisbeth, de Roger Clerc puis de Swami Satyananda Sarasvatî et sa disciple parisienne Micheline Flak (Swami Bhakti), une véritable amie de toujours.

J’ai eu l’opportunité de dispenser des séances de yogathérapie pendant plus de 35 ans (travail psychocorporel et transpersonnel individualisé en fonction des besoins et surtout du bilan naturopathique préalable). Peu à peu, je me suis senti appelé à m’investir dans les pratiques du Raja Yoga (méditatif), bien plus que du Hâta Yoga (postural).

Une vidéo en anglais où enseigne Swami Satyananda Saraswati : Spiritual experienc, psychotheraphy drugs | Swami Satyananda Saraswati | India – YouTube

D’autres rencontres ont profondément ancré le goût et la discipline de méditer et de prier chaque jour de ma vie : Dans la page liée à « mes rencontres », j’évoque notamment le bonheur que furent celles avec Jiddu Krishnamurti (une seule, mais au combien  foudroyante !), avec Karuna, Omraam Mikhaël Aïvanhov, le Père François Brune, Monseigneur Georges Roche, Monseigneur Charles-Rafaël Payeur, Benjamen Creme et tant d’autres soeurs et frères aînés sur le Sentier du Service et de l’évolution vers l’Eveil...

Karuna, une mystique et ermite vivant dans une borie, nous enseignait la méditation dans le Vaucluse. Aucune trace audio ou photo à vous montrer ici. 

Une vidéo où le grand Krishnamurti s’exprime en français : Jiddu Krishnamurti – Entretien en français 1972 – Bing video

O.M. Aïvahhov, qui fut un brillant conférencier et l’auteur d’une cinquantaine d’ouvrages très accessibles sur la spiritualité. J’ai aussi beaucoup apprécié la lecture des oeuvres de Peter Deunov, son propre maître en Bulgarie.

Le Père Brune m’ouvrit les portes d’un christianisme curieux de la vie manifestée après la mort et m’aida à garder un regard objectif,  à développer du discernement vis à vis des phénomènes dits « paranormaux »…

 

Monseigneur Georges Roche, ex secrétaire bras-droit du Pape Pie XII, me confirma amicalement que les ecclésiastiques, à partir du grade d’Evèque, étaient initiés à nombre de mystères auxquels les simples prêtres n’avaient pas accès (dont les processus de la réincarnation) et avaient accès aux ouvrages gardés secrètement au Vatican…

Monseigneur Charles-Rafaël Payeur contribua à m’éclairer de ses prodigieuses connaissances théologiques, symboliques et religieuses.

Quant à Benjamin Creme, dans la pure lignée théosophique de Madame Blavatsky, d’Alice Bailey ou d’Helena Roerich, ses enseignements m’offrirent la synthèse spiritualiste la plus complète et pertinente à laquelle je pouvais aspirer entre l’orient (yoga, bouddhisme) et l’occident (hébraïsme, christianisme)…

… plus d’infos sur la page « Conseils de santé corps-âme-esprit »

Sur votre propre chemin de vie, peut-être que quelques-uns de ces grands Etres spirituels (ou d’autres qui n’apparaissent pas ici)  pourront vous éclairer de leur Sagesse, vous réchauffer de leur Amour ou vous vivifier de leur Puissance…! Celles ou ceux dont  le nom apparaît en violet sont considérés comme des « Avatars« , c’est à dire des êtres « revenus sur terre » par compassion pour l’humanité souffrante.

Prière de Saint François

« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.

Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.

O Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.

Car c’est en se donnant qu’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie. »

Prière des Boddisathvas (il existe des variantes)

« Si seulement tous les êtres pouvaient demeurer dans l’Equanimité, dépourvus de partialité, d’aversion et d’attachement !
Puissent-ils y demeurer. Moi-même je les y mènerai.
Je prie les Maîtres et déités de m’accorder leurs bénédictions pour que je puisse agir de la sorte. » x3

« Si seulement tous les êtres pouvaient disposer du bonheur et des causes du bonheur !
Puissent-ils y parvenir. Moi-même je m’y emploierai.
Je prie les Maîtres et déités de m’accorder leurs bénédictions pour que je puisse agir de la sorte. » x3

« Si seulement tous les êtres pouvaient être libérés de la souffrance et des causes de la souffrance !
Puissent-ils en être libérés. Moi-même je les en délivrerai.
Je prie les Maîtres et déités de m’accorder leurs bénédictions pour que je puisse agir de la sorte. » x3

« Si seulement tous les êtres pouvaient ne jamais être séparés du bonheur supérieur des états fortunés et de la libération !
Puissent-ils y demeurer. Moi-même je ferai tout pour qu’ils n’en soient pas séparés.
Je prie les Maîtres et déités de m’accorder leurs bénédictions pour que je puisse agir de la sorte. » x3